Le débat sur l'école qui a lieu en ce moment a fait réagir, Assalé Tiémoko Antoine, journaliste par ailleurs député maire de Tiassalé. Entre les études scientifiques et littéraires, le choix est vite fait pour l'élu local. Voici la démonstration qu'il fait.
Le député maire de Tiassalé, Assalé Tiémoko Antoine, a d'emblée donné les raisons de son absence sur les plateaux de télévision et autres canaux de communication. "Vraiment, ces derniers temps, les problèmes de ma commune m'ont tellement accaparé que je n'ai pas beaucoup suivi l'actualité ni été disponible pour participer à des débats télévisés notamment sur NCI" s'est il justifié.

Cependant, il promet son apparition dans les jours à venir, précisément "Dimanche prochain, sauf changement de dernière minute, je devrais être de retour sur NCI" a t-il rassuré.

En attendant, il a tenu à se prononcer sur les débats liés aux coefficients. "  je voudrais juste donner un petit avis sur le débat qui a cours en ce moment, sur l'utilité du retour des coefficients au 1er cycle du secondaire" expose t-il.

"A titre personnel, je suis un littéraire, BAC philosophique puis études de droit et aujourd'hui, j'administre une collectivité et je participe à des débats au parlement.

Mais si j'étais le décideur national, devant le retard en terme de développement de ce pays, je mettrais plus de moyens dans la formation scientifique pour les enfants, sans négliger les enfants qui veulent prospérer dans les matières littéraires.

Le choix et la vision seraient clairement affichés. Il y aurait une discrimination positive en terme de moyens, pour les matières scientifiques et technologiques. 

C'est un choix que j'assumerais clairement. Et je veillerais à ce que les plus brillants dans les matières littéraires ou dans le sport et dans les arts, aient les moyens de porter hors de nos frontières, la fierté du pays."  A démontré Assalé Tiémoko.

Car " Gouverner un pays, c'est faire des choix politiques adossés à une vision claire. C'est la même chose au niveau local".

source : linfodrome